Intérêt de la mesure de la charge virale au premier mois du traitement antirétroviral

2010 ◽  
Vol 20 (3) ◽  
pp. 149-152
Author(s):  
O. Kra ◽  
B. Ouattara ◽  
Y.T. Aba ◽  
P.M. Roger ◽  
P. Dellamonica
2018 ◽  
pp. 47-54
Author(s):  
Nouhoum Telly ◽  
Benoit Tolofoudié ◽  
Mama Sy Konaké ◽  
Mariam Sylla ◽  
D Sidibé Mama ◽  
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La transmission de la mère à l'enfant est la principale cause d'infection chez l'enfant, elle peut survenir au cours de la grossesse, de l'accouchement ou de l'allaitement maternel. Dans les pays développés le risque de transmission de la mère à l'enfant a été réduit à moins de 1% grâce à la large diffusion de l'administration du traitement antirétroviral (TARV) chez les femmes enceintes et chez les enfants exposés au VIH. La présente étude a pour but de décrire la qualité de la PTME au CSRéf de la Commune IV du district de Bamako. Nous avons mené une étude transversale sur les données de janvier 2013 à décembre 2014 et dont la collecte a été réalisée de Février à Avril 2016, en exploitant tous les dossiers des nourrissons nés de mères séropositives ainsi que ceux de leurs mères. Les données ont été analysées par SPSS version 16. La protection des informations collectées sur les sujets de l'étude a été garantie. Dans cette étude 55,6% des mères étaient non scolarisées, 71,1% diagnostiquées avant la grossesse avec une charge virale indétectable chez 38,9%. Toutes étaient sous ARV avec 92,2% de bonne observance. Chez 98,3% des enfants la PCR1 a été réalisée avant l'âge de 2 mois après la naissance et la PCR2 après 6 mois de naissance chez 90,0% des enfants, près de 99% ont reçu l'ARV à la naissance et la même proportion le cotrimoxazole après 4 semaines , mais 91,7% ont fait une infection néonatale. La PCR1 était positif seulement chez 2,8%. Nous avons enregistré 2,2% de perdu de vue. Des efforts doivent être faites pour améliorés les statistiques pour l'atteinte des objectifs de la lutte contre le VIH et le sida.


2021 ◽  
Vol 22 (3) ◽  
pp. 415-419
Author(s):  
S.O. Usman ◽  
O.M. Ajayi ◽  
O. Ebiekura ◽  
N. Egbonrelu ◽  
G. Ebhojie ◽  
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Background: In sub-Saharan Africa where genotypic anti-retroviral (ARV) drug resistance testing is rarely performed and poor adherence is blamed for the inability to achieve viral suppression and treatment failure, programmatic approaches to preventing and handling these are essential. This study was aimed at assessing the virological outcomes among HIV patients receiving second-line anti-retroviral therapy (ART) in Southwestern Nigeria.Methodology: This was a 5-year observational retrospective study of randomly selected people living with HIV (PLWHIV) who have been switched to second-line ART for at least six months before the commencement of the study in multiple comprehensive ART sites across the three levels of care, in Ondo and Ekiti States, Southwestern Nigeria, from January 2015 to December 2019. Quantitative viral load analysis was done using polymerase chain reaction (PCR) assay. Data were analyzed using the Statistical Package for Social Sciences (SPSS) version 24.0.Results: A total of 249 (71 males and 178 females) subjects eligible for the study were recruited using simple random sampling technique. The mean age (± SD) of the subjects was 44.21 ± 11.45 years. The mean number of years the patients have been on ART regimen was 7.92 ± 2.68 years. The mean number of years the patients were on first line ART regimen before being switched to second line was 4.27 ± 2.63 years. Patients with viral load <1000 RNA copies/ml (suppressed viral load) were 216 (86.7%) out of which 113 (45.4%) had viral load <20 RNA copies/ml while 33 (13.3%) had viral load >1000 RNA copies/ml (unsuppressed viral load or virological failure).Conclusion: About 13% of the patients on second line ART had unsuppressed viral load of more than 1000 RNA copies/ml indicating virological failure. Thus, critical factors such as poor adherence to ART and drug resistance chiefly contributing to virological failure have to be routinely checked. Keywords: suppression, ART, resistance, virological, failure, Nigeria   French title: Preuve d'échec virologique chez les patients sous traitement antirétroviral de deuxième intention dans le sud-ouest du Nigeria: une indication pour le test de résistance aux médicaments contre le VIH   Contexte: En Afrique subsaharienne, où les tests génotypiques de résistance aux antirétroviraux (ARV) sont rarement effectués et où une mauvaise observance est imputée à l'incapacité d'obtenir la suppression virale et l'échec du traitement, des approches programmatiques pour les prévenir et les gérer sont essentielles. Cette étude visait à évaluer les résultats virologiques chez les patients VIH recevant un traitement antirétroviral (TAR) de deuxième intention dans le sud-ouest du Nigeria. Méthodologie: Il s'agissait d'une étude rétrospective d'observation de 5 ans portant sur des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) sélectionnées au hasard et passées à un TAR de deuxième intention pendant au moins six mois avant le début de l'étude dans plusieurs sites de TAR complets aux trois niveaux. de soins, dans les États d'Ondo et d'Ekiti, dans le sud-ouest du Nigéria, de janvier 2015 à décembre 2019. L'analyse quantitative de la charge virale a été effectuée à l'aide d'un test de réaction en chaîne par polymérase (PCR). Les données ont été analysées à l'aide du logiciel Paquet statistique pour les sciences sociales (SPSS) version 24.0. Résultats: Un total de 249 (71 hommes et 178 femmes) sujets éligibles à l'étude ont été recrutés à l'aide d'une technique  d'échantillonnage aléatoire simple. L'âge moyen (± ET) des sujets était de 44,21±11,45 ans. Le nombre moyen d'années pendant lesquelles les patients ont été sous traitement antirétroviral était de 7,92±2,68 ans. Le nombre moyen d'années pendant lesquelles les patients étaient sous traitement antirétroviral de première ligne avant de passer en deuxième ligne était de 4,27 ± 2,63 ans. Les patients avec une charge virale <1000 copies d'ARN/ml (charge virale supprimée) étaient 216 (86,7%) dont 113 (45,4%) avaient une charge virale <20 copies d'ARN/ml tandis que 33 (13,3%) avaient une charge virale >1000 ARN copies/ml (charge virale non supprimée ou échec virologique). Conclusion: Environ 13 % des patients sous TAR de deuxième ligne avaient une charge virale non supprimée de plus de 1000 copies d'ARN/ml indiquant un échec virologique. Ainsi, les facteurs critiques tels qu'une mauvaise adhésion au TARV et la résistance aux médicaments contribuant principalement à l'échec virologique doivent être systématiquement vérifiés. Mots clés: suppression, TAR, résistance, virologique, échec, Nigeria  


2019 ◽  
pp. 28-33
Author(s):  
B Kanté ◽  
M Tounkara ◽  
N Telly ◽  
O Sangho ◽  
CA Coulibaly ◽  
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Introduction : Le traitement antirétroviral vise une suppression profonde et durable de la réplication du VIH et la restauration de l'immunité. Au Mali, 89% de PVVIH étaient sous ARV en septembre 2018. L'Unité de Soins, d'Accompagnement et de Conseil (USAC) du district sanitaire de la commune IV avait 1962 patients sous ARV en fin 2018. L'objectif était d'analyser les indicateurs du traitement antirétroviral chez les PVVIH âgées de 18 ans et plus sous ARV dans le district sanitaire de la commune IV de Bamako en 2019. Matériel et méthodes : Nous avons fait une analyse des données rétrospectives de la cohorte de PVVIH sous ARV suivi de Novembre 2006 à Mai 2019. Trois cent quatre-vingt et huit (388) dossiers ont été sélectionnés par échantillonnage aléatoire simple. Résultats : L'âge médian de nos enquêtés était de 38 ans. Nous avons trouvé une durée médiane de suivi de 5,4 ans. Le pourcentage de patients avec CD4 normal est passé de 14 à 51,4%. Celui des patients avec charge virale indétectable est passé de 7 à 86,7%. La valeur médiane de CD4 a plus que doublé (223 à 508 cellules/ mm3) et celle de la charge virale a diminué d'environ 99% (88079, 5 à 0 copies/ml). Le poids médian des patients a augmenté de 7 kilogrammes au cours du traitement. Conclusion : La prise en charge des PVVIH avec l'antirétroviral est satisfaisante à l'USAC du district sanitaire de la commune IV.


2021 ◽  
Vol 22 (1) ◽  
pp. 67-73
Author(s):  
A.P. Okwuraiwe ◽  
R.A. Audu ◽  
F.A. Ige ◽  
O.B. Salu ◽  
C.K. Onwuamah ◽  
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Background: HIV co-infection with hepatitis B (HBV) and/or hepatitis C virus (HCV) is common, largely due to shared routes of transmission, but paucity of data exists for long term treatment outcomes of HIV infected patients, and those co-infected with HBV and HCV despite the high burden in Nigeria. The aim of study was to describe the longterm treatment outcomes in HIV infected Nigerians and to assess the effect of HBV and HCV co-infections on longterm response to antiretroviral therapy (ART).Methodology: This was a retrospective study of HIV infected adults (> 18 years old) consecutively initiating ART between July 2004 and December 2007, who were followed up for 7 years (2011 and 2014). HBV and HCV infections were diagnosed by detection of serum hepatitis B surface antigen (HBsAg) and HCV antibody (HCVAb) respectively. HIV viral load and CD4 count were monitored 3-monthly after initiating ART, and treatment outcomes based on these were compared between patients with HIV mono-infection, HIV/HBV, HIV/HCV and HIV/HBV/HCV co-infections. Clinical and laboratory data of the patients were abstracted from the medical databases, FileMaker Pro, v 10, entered into Microsoft Excel, and analyzed using SPSS version 20.0.Results: A total of 2,800 adults were evaluated (median age of 35.5 years; 64.2% female), of whom 197 (7.0%) were co-infected with HBV, 53 (1.9%) with HCV, and 15 (0.5%) with HBV and HCV. During the 7-year period, 369 (13.2%) patients were lost to follow up. Immune reconstitution, measured by CD4 recovery, was lower in both HBV and HCV co-infections compared to HIV mono-infection, but this was not statistically significant (p>0.05). Median baseline HIV viral load was 4.63 log copies/ml for all groups, which decreased to undetectable level at a median time of 6 months and remained so for the study duration.Conclusion: This study revealed a higher virologic failure among HIV/HCV co-infected group compared to other groups. No immunological difference in ART treatment outcomes between HIV mono-infected and those co-infected with HBV and HCV after 7-year follow-up. Gradual rise in CD4 was found to be an immunological evidence of the body’s recovery from HIV, buttressed by the drop in viral load over the 7-year period. Keywords: ART, HIV, HBV, HCV co-infection, long term outcomes   English title: Résultats à long terme du traitement antirétroviral hautement actif chez les Nigérians infectés par le VIH et ceux co-infectés par les virus des hépatites B et C Contexte: La co-infection par le VIH avec l'hépatite B (VHB) et/ou le virus de l'hépatite C (VHC) est courante, engrande partie en raison des voies de transmission partagées, mais il existe peu de données sur les résultats dutraitement à long terme des patients infectés par le VIH, et ceux co -infectés par le VHB et le VHC malgré le fardeau élevé au Nigéria. Le but de l'étude était de décrire les résultats du traitement à long terme chez les Nigérians infectés par le VIH et d'évaluer l'effet des co-infections par le VHB et le VHC sur la réponse à long terme au traitement antirétroviral (TAR).Méthodologie: Il s'agissait d'une étude rétrospective sur des adultes infectés par le VIH (>18 ans) ayant commencé un traitement antirétroviral consécutivement entre juillet 2004 et décembre 2007, suivis pendant 7 ans (2011 et 2014). Les infections par le VHB et le VHC ont été diagnostiquées par détection de l'antigène de surface sérique de l'hépatite B (AgHBs) et des anticorps anti-VHC (HCVAb) respectivement. La charge virale du VIH et la numération des CD4 ont été surveillées tous les trois mois après le début du TAR, et les résultats du traitement basés sur ceuxci ont été comparés entre les patients atteints de mono-infection VIH, VIH/VHB, VIH/VHC et VIH/VHB/VHC. Les données cliniques et de laboratoire des patients ont été extraites des bases de données médicales, FileMaker Pro, v 10, saisies dans Microsoft Excel et analysées à l'aide de SPSS version 20.0.Résultats: Un total de 2800 adultes ont été évalués (âge médian de 35,5 ans; 64,2% de femmes), dont 197 (7,0%) étaient co-infectés par le VHB, 53 (1,9%) par le VHC et 15 (0,5%) par le VHB et VHC. Au cours de la période de 7 ans, 369 (13,2%) patients ont été perdus de vue. La reconstitution immunitaire, mesurée par la récupération des CD4, était plus faible dans les co-infections par le VHB et le VHC que dans la mono-infection par le VIH, mais cela n'était pas statistiquement significatif (p>0,05). La charge virale VIH de base médiane était de 4,63 log copies / ml pour tous les groupes, ce qui a diminué à un niveau indétectable à une période médiane de 6 mois et le reste pendant toute la durée de l'étude.Conclusion: Cette étude a révélé un échec virologique plus élevé parmi le groupe co-infecté par le VIH / VHC par rapport aux autres groupes. Aucune différence immunologique dans les résultats du traitement TAR entre le VIH mono-infecté et ceux co-infectés par le VHB et le VHC après un suivi de 7 ans. L’augmentation progressive des CD4 s’est avérée être une preuve immunologique de la guérison du corps du VIH, étayée par la baisse de la charge virale au cours de la période de 7 ans. Mots clés: TAR, VIH, VHB, co-infection par le VHC, résultats à long terme      


Author(s):  
Nestor Bangoura ◽  
Abou A.M. Diouara ◽  
Mohamed Cissé ◽  
Halimatou D. Ndiaye ◽  
Souleymame Mboup ◽  
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Problématique: Comme dans plusieurs pays du Sud, le suivi virologique des patients sous traitement antirétroviral (TARV) en Guinée est timide voire inexistant dans certaines localités. Le but de cette étude était d’évaluer la faisabilité technique et logistique de l’utilisation des DBS dans les tests de charge virale (CV) et de génotypage.Méthode: De septembre à octobre 2010, les DBS ont été préparés à partir de prélèvements sanguins de patients adultes sous TARV. Le délai d’envoi des échantillons au laboratoire de référence était de 30 jours maximum après le prélèvement et se faisait à température ambiante. La CV a été quantifiée et les échantillons de patients en échec virologique (CV ≥ 3 log10 copies/mL) ont été génotypés selon le protocole de l’ANRS. L’algorithme de Stanford version 6.0.8 a été utilisé pour l’analyse et l’interprétation des mutations de résistance.Résultats: Parmi les 136 patients inclus, 129 et 7 étaient respectivement sous première et deuxième ligne de traitement avec une médiane de suivi de 35 mois [IQR: 6-108]. L’échec virologique a été noté chez 33 patients. Parmi eux, 84.8% (n = 28/33) ont bénéficié d’ungénotypage. Le taux de résistance global était de 14% (n = 19/136). Le CRF02_AG était le sous type viral le plus prévalent (82%; n = 23).Conclusion: En plus de montrer la faisabilité technique et logistique des tests de CV et de génotypage à partir des DBS, ces résultats montrent l’intérêt de leurs utilisations dans le suivi virologique des patients sous TARV. Cette étude a permis également de documenter l’échec virologique, la résistance aux ARV et la diversité génétique du VIH-1 en Guinée.Mots clés: VIH-1, Résistance aux ARV, DBS (Dried Blood Spots), Guinée Conakry, Génotypage,Charge Virale. Quantification of Viral load and resistance tests of HIV-1 to ARVs from dried blood spotssamples in Guinean patients undergoing antiretroviral treatment.Problem: As in several countries of the South, the virological monitoring of patients undergoing antiretroviral treatment (ARVT) in Guinea is low or non-existent in some locations. The aim ofthis study was to assess the technical and logistical feasibility of the use of (dried blood spots) DBSs in viral load (VL) and genotyping tests.Method: From September 2010 to October 2010, DBS were prepared from blood samples of adult patients under ARVT. The samples had to be sent to the reference laboratory within 30 days after the sample had been done at ambient temperature. The VL was quantified and the samples of patients with virological failure (CV ≥ 3 log10 copies/mL) were genotyped according to the ANRS protocol. The Stanford algorithm, version 6.0.8, was used to analyse and interpret the resistance mutations.Results: Amongst the 136 included patients, 129 and 7 were under first and second line treatment respectively, and monitored for an average of 35 months [IQR: 6-108]. Virological failure was noticed among 33 patients. Among them, 84.8% (n = 28/33) benefited from genotyping. The global resistance rate was 14% (n = 19/136). CRF02_AG was the most prevalent viral subtype (82%; n = 23).Conclusion: In addition to demonstrating the technical and logistic feasibility of VL and genotyping tests from DBSs, these results show the relevance of their use in the virological monitoring of patients under ARVT. Also, this study made it possible to provide informationon virological failure, ARV resistance and the HIV-1 genetic diversity in Guinea.


2019 ◽  
Vol 28 (3) ◽  
pp. 232-238
Author(s):  
C.-E. Luyt ◽  
G. Hékimian ◽  
N. Bréchot

Les réactivations à herpès simplex virus (HSV) et à cytomégalovirus (CMV) sont fréquentes chez le patient non immunodéprimé de réanimation. La réactivation HSV est localisée aux voies aériennes ; elle débute au niveau oropharyngé, progresse de façon descendante avec la contamination des voies aériennes distales et peut aboutir, chez certains malades, à une véritable bronchopneumonie herpétique. Elle est en outre associée à un pronostic défavorable. Le traitement prophylactique et préemptif des réactivations HSV ne peut pas être préconisé à l’heure actuelle. Le traitement curatif repose sur un avis d’experts, chez des malades présentant soit une charge virale élevée dans les voies aériennes distales, soit des signes cytologiques d’atteinte parenchymateuse pulmonaire sur les cellules recueillies lors du lavage bronchoalvéolaire. La réactivation CMV sanguine est fréquente et peut être isolée ou associée à une réactivation/atteinte pulmonaire et est aussi associée à un pronostic défavorable. Le traitement prophylactique de la réactivation CMV ne peut pas être préconisé, et le traitement préemptif est en cours d’évaluation. À l’heure actuelle, le traitement curatif des maladies pulmonaires à CMV repose soit sur des signes histologiques d’atteinte pulmonaire, soit sur un faisceau d’arguments clinicobiologiques évoquant une possible maladie à CMV.


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