17. Les débats sur les effets de quartier : que nous apprennent les approches centrées sur les réseaux sociaux et le capital social ?

Le quartier ◽  
2007 ◽  
pp. 217-228
Author(s):  
Damaris Rose ◽  
Anne-Marie Séguin
2004 ◽  
Vol 23 (4) ◽  
pp. 375-377
Author(s):  
Karen Kobayashi

RÉSUMÉCette collection éditée contient les essais d'auteurs de neuf pays qui analysent les retombées du vieillissement de la population sur les familles aux niveaux individuel, collectif et socio-structurel. Fondés sur la notion de perspectives du tracé de vie et de la modernisation, les thèmes clés comprennent, notamment : 1) l'importance continué de la solidarité familiale et intergénérationnelle dans la vie des personnes âgées; 2) l'incidence de la longévité croissante des aînés sur la prise en charge par les familles; 3) la diversité et la complexité croissantes des relations familiales, et leur incidence sur les transferts et le soutien intergénérationnels; 4) les rapports entre attentes et attitudes et transferts et soutien intergénérationnels; et 5) les liens d'interdépendance entre la solidarité publique (d'État) et privée (la famille). L'ouvrage, qui réunit les perspectives diverses d'un groupe de chercheurs internationaux spécialisés dans le trajet de vie et le vieillissement, permet d'amorcer un débat mondial sur des sujets émergents, tels que le rôle du capital social dans la création de réseaux sociaux pour les personnes âgées prises en charge par leur famille, et l'importance de la nature et du sens des transferts privés sur la solidarité intergénérationnelle et le bien-être des familles.


2002 ◽  
pp. 23-33 ◽  
Author(s):  
Maurice Lévesque ◽  
Deena White

RÉSUMÉ Plusieurs travaux consacrés au capital social le définissent par sa fonction ou par les effets qui lui sont attribués. Le concept reçoit ainsi une multiplicité de définitions qui entraîne des limites sérieuses pour la recherche et pour l'intervention. L'examen présenté ici tend à montrer que les approches qui conçoivent le capital social comme une « ressource potentielle découlant de la participation à des réseaux sociaux » permettent de mieux préciser le concept et de mener des recherches empiriques plus systématiques. Mais quelles que soient les définitions retenues, deux sujets de controverse subsistent : existe-il un capital social « négatif », et à quelles conditions peut-on parler de capital social « individuel » et de capital social « collectif »?


2017 ◽  
Vol 38 (2) ◽  
pp. 167-182
Author(s):  
Philippe Verduyn ◽  
Oscar Ybarra ◽  
Maxime Résibois ◽  
John Jonides ◽  
Ethan Kross ◽  
...  

Les réseaux sociaux ont rapidement changé la façon dont les gens interagissent entre eux. Le réseau social le plus populaire est Facebook, avec un nombre croissant de personnes qui consacrent de plus en plus de temps sur ce site chaque jour. Dans cet article, nous discutons de l’impact de l’utilisation de Facebook sur le bonheur. La revue de littérature révèle que le bonheur serait influencé différemment selon une utilisation passive ou active de Facebook. L’utilisation active de Facebook stimule le capital social et le sentiment de connexion, qui, à leur tour, ont un impact positif sur le bonheur. L’utilisation passive de Facebook mène souvent à une hausse de la comparaison sociale et de l’envie, qui, à leur tour, ont un impact négatif sur le bonheur. Les gens sont en général plus passifs qu’actifs sur Facebook et ainsi, leur utilisation du site tend à diminuer plutôt qu’à augmenter leur bonheur. Nous terminons cet article en discutant de pistes de recherches futures.


Hermès ◽  
2011 ◽  
Vol n° 59 (1) ◽  
pp. 21
Author(s):  
Nicole Ellison ◽  
Annike Thierry

Author(s):  
Anne Loubès ◽  
Isabelle Bories-Azeau ◽  
Claude Fabre

Résumé Notre étude porte sur un réseau de PME labellisé système productif local (SPL). Elle relève de la réflexion actuelle sur la GRH dans le cadre des rapprochements interentreprises. L’hypothèse sous-jacente est que ces maillages peuvent faciliter l’accès des PME aux dispositifs de GRH et ainsi « élever » leurs pratiques dans ce domaine. En mobilisant le cadre théorique des réseaux sociaux et du capital social, nous montrons quels sont les facteurs qui contribuent à l’émergence d’une GRH de réseau en favorisant la modernisation de la GRH des différents partenaires. La méthodologie adoptée repose sur une étude de cas en profondeur. Les résultats obtenus montrent que les actions initiales et collectives menées dans le SPL étudié produisent un capital social propre à modifier l’environnement de la fonction RH et, par là même, à faire progresser le mix social des entreprises partenaires et à impulser une GRH de réseau. La problématique centrale de cette nouvelle GRH est de combiner localement des ressources, de les mutualiser et de favoriser l’émergence, la mobilisation et le maintien du capital social. Même si le SPL ne règle pas l’ensemble des problèmes auxquels se heurtent les PME qui le constituent (par exemple : dialogue social encore difficile), le réseau apporte une nouvelle conception de la GRH, centrée sur la relation et les partenariats, incluant les niveaux stratégiques et territoriaux.


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