Information Diffusion on Social Media: Why People Share and ‘Re-share’ Online

Author(s):  
Lola (Lorraine) YC Wong

What prompts an individual to forward a link via email, retweet it on Twitter, or share it on Facebook?  This research investigates why news and information are propagated through social media, examining the characteristics of information that determine whether and with whom it is shared.Qu’est-ce qui pousse un individu à réexpédier un lien par courriel, ou par twitter, ou à le partager sur Facebook ? Cette recherche examine pourquoi les nouvelles et les informations sont propagées à travers les médias sociaux, en étudiant les caractéristiques de l'information qui déterminent si et avec qui elle est partagée. 

Author(s):  
Shannon Lucky ◽  
Dinesh Rathi

Social media technologies have the potential to be powerful knowledge sharing and community building tools for both corporate and non-profit interests. This pilot study explores the social media presence of a group of forty-six Alberta-based non-profit organizations (NPOs) in this information rich space. In this paper we look at the pattern of presence of NPOs using social media and relationships with staffing structures.Les médias sociaux ont la capacité d’être de puissants outils de partage de la connaissance et de rassemblement communautaire pour les organisations à but lucratif et sans but lucratif. Cette étude pilote explore la présence dans les médias sociaux d’un groupe de quarante-six organisations sans but lucratif (OSBL) albertaines dans cet environnement riche en information. La communication portera sur les modèles de présence des OSBL dans les médias sociaux et les liens avec les structures organisationnelles.


2018 ◽  
Vol 43 (2) ◽  
Author(s):  
William Sanger ◽  
Thierry Warin

Background This article investigates how to extract signals from social media (Twitter) concerning political parties during an election.Analysis  670,000 messages were collected during the 2014 Québec election regarding each political party using a framing strategy. After associating each message to one of the four main topics of the campaign, two logistic models were developed to describe the election. While having been set by the incumbent party, the topic of “Independence” was not the most important topic of the campaign (“Economy” and “Society” were). When dominating in terms of mentions, each party was associated to a topic, and such association changed during the campaign.Conclusion and implications  From a practical standpoint, the findings of this article could be used to implement a framework to understand political campaigns dynamics through social media.RÉSUMÉContexte  Cette recherche est axée sur la manière de structurer les signaux issus des médias sociaux (Twitter) en contexte politique. Analyse  Nous avons collecté 670 000 messages concernant l’élection québécoise de 2014 en utilisant une stratégie de cadrage. Chaque message fut associé à une thématique de campagne, puis deux modèles logistiques furent utilisés pour décrire les élections. Ainsi, alors que le thème de l’indépendance fut mis à l’avant par le parti sortant, ce sont les messages reliés à l’économie et à la société qui furent les plus importants. Chaque parti fut associé préférentiellement à une thématique lorsqu’il domina en termes de mentions, et nous observons une évolution de cette association au cours de la campagne électorale. Conclusions et implications  Les résultats de cette recherche peuvent servir de cadre analytique pour structurer l’utilisation de données massives en contexte électoral.


2019 ◽  
Vol 44 (1) ◽  
Author(s):  
Princewell Nwanganga Achor ◽  
Justie O. Nnabuko

Background  Existing literature depicts public relations practitioners as gatekeepers. Despite this, limited research exists on how much of a gatekeeping role public relations practitioners play in their organizations’ communication with the publics in the social media domain. Analysis  This article bridges the research gap by examining the dual role of quasi-gatekeeping and quasi-gatewatching performed by public relations practitioners in their attempt to communicate, regulate, and manage information in the social media domain and market-space media environment. Conclusion and implications  Discussion of these two distinct roles expands the frontiers of gatekeeping studies in public relations practice and communication studies, through the introduction of a new mixed-flow model of the gatekeeping function of public relations practitioners in the digital media landscape.RÉSUMÉContexte  En dépit de la littérature existante montre que les spécialistes des relations publiques en tant que gardiens, cependant, il y a peu de recherches sur la quantité de rôle de surveillance les spécialistes en relations publiques jouent dans leurs organisations la communication avec le public dans le domaine des médias sociaux. Analyse  Par conséquent, cet article se ferme cette lacune en examinant le rôle de la dualité de pouvoirs quasi-control et quasi-gatewatching effectuée par le spécialistes des relations publiques dans leur tentative de communiquer, réglementer et gérer l’information dans le domaine des médias sociaux. Conclusion et implications  La discussion sur ces deux rôles distincts a enrichi la compréhension et les frontières d’un contrôle dans la pratique des relations publiques par l’introduction d’un nouveau modèle de flux mixtes de contrôle dans le paysage médiatique numérique.


Author(s):  
Anatoliy Gruzd ◽  
Amanda Wilk ◽  
Kathleen Staves ◽  
Philip Mai

Online social media tools are becoming further integrated into the lives of academics. However, there is very little hard data on why and how scholars are using them. The paper presents the results of our ongoing study on how academics are adopting these new tools for communication and information dissemination.Les outils de médias sociaux en ligne s’intègrent de plus en plus dans la vie des professeurs-chercheurs. Cependant, il existe peu de données sur les raisons et les façons pour lesquelles on les utilise. Cette communication présente les résultats d’une analyse en cours sur les modes d’adoption, par les professeurs-chercheurs, de ces nouveaux outils de communication et de diffusion de l’information. 


Author(s):  
Michael Arntfield

Existing research on cyberbullying has consistently overlooked the role of victims in online offending, as well as victim behaviour as both a facilitator and predictor of digital predation. This article offers an interdisciplinary critique of existing research and proposes a new framework of cybervictimology—traditional victimology in the context of cyberactivities. The framework points to cyberbullying as being best explained by Cohen and Felson’s (1979) routine activities theory of crime. Because one of the main criteria of “traditional” corporeal bullying is repetition, the routine activities of victims in social media environments are key facilitators in the bullying process; they serve as advanced indicators of victimization in a space where anti-social behaviour is comparatively tolerated—and even celebrated—in the absence of suitable guardianship. La récherche actuelle sur cyberintimidation a souvent négligé le role des victimes en cas de les crimes engagé en linge, et aussi les compartements de victimes comme faciliateurs et prédicteurs de predation numérique. Cet essai offre une critique interdisciplinaires de la récherche et propose un noveau cadre de cybervictimologie—le victimologie tradionnel en cas de les activités en ligne. Le cadre proposé indique que cyberintimidation est mieux expliqué par le ‘routine activities theory’ proposé par Cohen et Felson (1979). Parce que l’un des principaux critères de cyberintimidation traditionnel est repetition, les activities discret des victimes dans les environments des médias sociaux sont les principaux facilitateurs de cyberintimidation dans les environments en ligne où le compartement déviant est souvent toléré et encore célèbre en l’absence de la tutelle apprpriée.


Author(s):  
Nasser Saleh ◽  
Nouf Khashman ◽  
Ahmad Kamal

Panel: There has been a great attention towards the use of social media in/and revolutionary movements (more recently in the Arab world). This panel introduces some different frameworks that can be used in information science to study these phenomena along with a discussion with CAIS/ACSI members about possible research areas.Panel: Une grande attention a été portée à l’utilisation des médias sociaux dans/et les mouvements révolutionnaires (plus récemment dans le monde arabe). Ce panel introduit quelques différences dans les cadres pouvant être utilisés en sciences de l’information science pour étudier ces phénomènes. Suivra une discussion avec les membres de CAIS/ACSI des possibilités de recherches sur le sujet.


Author(s):  
Jonathan A. Obar

One hundred and fifty-seven representatives from 63 advocacy organizations operating in Canada were surveyed to evaluate the extent to which these groups are adopting social media, and perceive that these technologies offer affordances that contribute to the advancement of activism objectives. Quantitative results of social media adoption reveal that groups are engaging with a limited selection of social media technologies (mainly Facebook and Twitter) a few times a week or more, while avoiding other options like Google+ and Tumblr. Qualitative results addressing perceived social media affordances suggest that while groups are enthusiastic about social media’s potential to strengthen outreach efforts, enable engaging feedback loops, and increase the speed of communication, they remain cautious of unproven techniques that may divert resources from strategies known to workOn a sondé cent cinquante-sept représentants de soixante-trois groupes de pression oeuvrant au Canada afin d’évaluer dans quelle mesure ces groupes sont en train d’adopter les médias sociaux et combien ils croient que ces technologies contribuent à l’atteinte des objectifs de l’activisme. Les résultats quantitatifs sur le recours aux médias sociaux montrent que les groupes utilisent un éventail limité de ceux-ci (principalement Facebook et Twitter) quelques fois par semaine ou plus, tout en évitant des alternatives comme Google+ et Tumblr. Les résultats quantitatifs sur les affordances perçues à l’égard des médias sociaux suggèrent que les groupes sont enthousiastes envers le potentiel des médias sociaux à faciliter la communication, permettre des boucles de rétroaction engageantes, et accroître la vitesse des échanges. En revanche, les groupes demeurent réservés par rapport à des techniques qui n’ont pas fait leurs preuves. En effet, ils préfèreraient ne pas détourner des ressources qu’il vaudrait mieux consacrer à des stratégies éprouvées.


Author(s):  
Amy Vanscoy ◽  
Deborah Hicks ◽  
Mary Cavanagh

This paper examines the concept of “conversation” on Twitter as expressed by both social media metrics and network analysis. This paper offers a methodology for studying library engagement on Twitter and reflexively critiques the method to probe different discursive styles and technical expressions of “engagement” by Canadian public libraries.Cet article examine le concept de « conversation » sur Twitter tel qu'il est exprimé par les métriques de médias sociaux et l'analyse de réseau. L’article propose une méthodologie pour étudier l'engagement des bibliothèques sur Twitter et critique par réflexe la méthode pour sonder différents styles discursifs et expressions techniques de « l'engagement » des bibliothèques publiques canadiennes.


2013 ◽  
Vol 46 (4) ◽  
pp. 841-861 ◽  
Author(s):  
Blayne Haggart

Abstract.Despite the growing importance of social media, their political effectiveness remains understudied. Drawing on and updating resource mobilization theory and political process theory, this article considers how social media make “political engagement more probable” and determine the success of online social movements. It does so by examining the mainstreaming of the Canadian “user rights” copyright movement, focusing on the Fair Copyright for Canada Facebook page, created in December 2007. This decentralized, grassroots, social media-focused action—the first successful campaign of its kind in Canada and one of the first in the world—changed the terms of the Canadian copyright debate and legitimized Canadian user rights. As this case demonstrates, social media have changed the type and quantity of resources needed to create and sustain social movements, creating openings for new groups and interests. Their success, however, remains dependent on the political context within which they operate.Résumé.Malgré l'importance croissante des médias sociaux, leur efficacité politique est encore peu étudiée. En s'appuyant sur et en mettant á jour la théorie de la mobilisation des ressources et la théorie du processus politique, cet article examine comment les médias sociaux rendent « l'engagement politique plus probable » (Jensen et al., 2012 : 16) et détermine la réussite des mouvements sociaux en ligne. Il le fait en examinant l'intégration du mouvement canadien de « droits d'utilisateur » dans le débat sur les droits d'auteur et en se concentrant sur la page FacebookFair Copyright for Canada, créée en décembre 2007. Cet action décentralisée populaire, axée sur les médias sociaux—la première campagne réussie de son genre au Canada et l'une des premières du monde—a changé les termes du débat sur les droits d'auteur canadiens et a légitimé les droits d'utilisateur canadiens. Cette affaire montre que les médias sociaux ont changé le type et la quantité des ressources nécessaires pour créer et maintenir les mouvements sociaux, et qu'ils ont crée, par la suite, des ouvertures pour des nouveaux groupes et intérêts. Leur succès reste cependant dépendant du contexte politique dans lequel elles opèrent.


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