état de santé
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208
(FIVE YEARS 33)

H-INDEX

6
(FIVE YEARS 1)

2022 ◽  
Vol 14 (1) ◽  
pp. 153
Author(s):  
N. Guediri ◽  
S. M’hamdi ◽  
S. Daboussi ◽  
N. Boubaker ◽  
I. Mejri ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 39 (2) ◽  
pp. 87-108
Author(s):  
Marc Dumas ◽  
Bénédicte Berthe

L’article cherche à démêler les liens complexes et les interactions entre état de santé dégradé, absentéisme et présentéisme. La problématique soulevée par cette étude porte sur les interactions entre trois paramètres que sont la santé, l’absentéisme et le présentéisme du personnel soignant. La recherche s’articule autour de 3 questions principales : Quelle est la validité des catégories construits à partir des données d’absentéisme et de présentéisme auto-déclarées ? Quels sont les principaux déterminants de santé du présentéisme et de l’absentéisme ? Quelle(s) relation (s) l’étude peut-elle établir entre le présentéisme et l’absentéisme en analysant les catégories de présentéisme, absentéisme?. La méthodologie mobilisée s’appuie sur un questionnaire quantitatif composé de 96 questions. 136 réponses complètes sont traitées à l’aide du logiciel SPSS 21. Notre catégorisation est validée non pas par les caractéristiques personnelles ou professionnelles mais par l’auto-déclaration sur l’état de santé perçu. Nous n’observons pas de facteurs explicatifs du présentéisme autre que l’état de santé. Les maladies ou douleurs chroniques et le mauvais état de santé expliquent aussi bien l’absentéisme que le présentéisme. Le harcèlement ou un problème relationnel au travail est lié à un mauvais état de santé et à l’absentéisme. La charge de travail et la dégradation de leur santé physique et psychologique, va diminuer le présentéisme des « pures présentéistes » donc favoriser l’absentéisme. Ce phénomène va s’amplifier puisque les « présentéistes-absentéistes », eux-mêmes seront moins présentéistes et plus absents, pour des raisons similaires. Les résultats montrent ainsi que le présentéisme favorise un accroissement de l’absentéisme.


2021 ◽  
Vol 82 (5) ◽  
pp. 543
Author(s):  
O. Berriche ◽  
M. Belkhiri ◽  
S. Arfa ◽  
H. Hlel ◽  
O. Jomaa ◽  
...  

2021 ◽  
Vol n° 52 (2) ◽  
pp. 123-134
Author(s):  
Noureddine El Khoudri ◽  
Abdellatif Baali ◽  
Hakima Amor

2021 ◽  
Vol n° 52 (2) ◽  
pp. 135-146
Author(s):  
Nadia Ouzennou ◽  
Abdelmounaim Manoussi ◽  
Hicham Mejdouli ◽  
Fatim-Ezzahra Abssane ◽  
Oumaima Chakir ◽  
...  

Author(s):  
Essosinam Franck Karabou ◽  
Komlan Ametowoyo Adeve ◽  
Kossi Atsutsè Dziédzom Tsomdzo

Author(s):  
Marie Bertier ◽  
Jeroen Luyten ◽  
Sandy Tubeuf

La moyenne hebdomadaire des nouvelles admissions COVID des dernières semaines a conduit le SPF Santé Publique à suggérer un passage à la phase 1B du plan de Surge Capacity le 22 mars 2021. Selon cette phase 1B, les hôpitaux doivent reporter des soins non urgents afin de disposer d’une capacité hospitalière suffisante pour fournir les soins nécessaires aux patients COVID comme aux patients non-COVID. Le report et/ou le renoncement à des soins médicaux depuis le début de la crise sanitaire est devenu plus fréquent dans la population. Qu’il s’agisse d’un report de rendez-vous par les professionnels de santé ou un renoncement aux soins par les patients par crainte de contracter le coronavirus, ces soins médicaux non satisfaits pourraient conduire à une dégradation ultérieure de l’état de santé et donc directement ou indirectement à une surmortalité. Ce numéro de Regards économiques réalise un premier état des lieux de l’ampleur du renoncement aux soins durant le premier confinement à partir des données d’une enquête en ligne menée auprès de la population en Belgique au printemps 2020. L’analyse montre un important renoncement à des soins spécialistes et des examens médicaux dans la plupart des cas pour des raisons qui relèvent de l’offre de soins, notamment le fait que les hôpitaux ou les établissements de soins ont annulé ou reporté les rendez-vous médicaux ou que les professionnels de santé avaient fermé leur cabinet. Puisqu’ils sont nécessairement de plus grands utilisateurs de soins, ce sont les plus malades qui ont particulièrement renoncé à des soins médicaux. En revanche, dans le cas des soins dentaires, des disparités dans le renoncement s’observent majoritairement au détriment des plus pauvres. Une détérioration de l’état de santé de la population est donc à craindre du fait du renoncement à des soins médicaux durant le confinement et au-delà puisqu’une proportion non négligeable de personnes rapportent ne pas envisager d’aller consulter lors d’un futur besoin de soins. A partir de ces premiers résultats chiffrés de l’ampleur et les raisons du renoncement aux soins durant le premier confinement, nous formulons plusieurs points d’attention pour les décideurs politiques. Bien que nous ne soyons pas en mesure de comparer l’ampleur du renoncement aux soins au cours des confinements successifs, le maintien de l’offre de soins dans les confinements plus récents devrait permettre de limiter les externalités négatives sur les autres malades que les malades COVID-19. Le report de soins même jugés non urgents devrait être évité autant que possible. Alors que le profil des répondants à l’enquête est socialement plus avantagé que la population générale, nous avançons que ces résultats sont une borne inférieure de l’ampleur du renoncement aux soins dans la population belge et des conséquences futures sur la santé de la population. Les conséquences de soins médicaux non satisfaits sont susceptibles d’être encore plus importantes dans des sous-groupes de la population qui cumuleront non seulement un renoncement aux soins médicaux dû au confinement mais aussi un renoncement pour raisons financières s’ils subissent des pertes d’emploi ou de revenu accrues en raison de la COVID-19. Ces obstacles à l'accès aux soins de santé et les besoins insatisfaits ont mis en évidence la difficulté du système de santé à être suffisamment résilient pour absorber le choc d’une pandémie. Il sera donc important que les décideurs politiques envisagent des plans nationaux de santé publique de grande ampleur qui «ramènent» les patients vers les soins. Il s’agira non seulement d’encourager les patients dont le suivi s’est interrompu à reprendre leur traitement et à évaluer la détérioration de leur état de santé mais aussi d’encourager tous les patients qui ont manqué une opportunité de dépistage de ne pas perdre plus de temps dans l’identification potentielle de problèmes de santé sévères.


Therapies ◽  
2021 ◽  
Vol 76 (2) ◽  
pp. 173
Author(s):  
Lamia Issany ◽  
Vidiane Jaoul ◽  
Emilie Jouanjus ◽  
Fabrice Hérin ◽  
Maryse Lapeyre-Mestre
Keyword(s):  

2021 ◽  
Vol 17 (7) ◽  
Author(s):  
Kakpovi K. ◽  
Koffi-Tessio Ves ◽  
Mouzou P. ◽  
Oniankitan O. ◽  
Mijiyawa M. ◽  
...  

Objectifs :déterminer le degré d’informations données aux patients hospitalisés en matière de diagnostic, des examens paracliniques et du traitement dans des services de médecine et de chirurgie du CHU – SylvanusOlympio à Lomé (Togo). Méthodes :il s’agit d’une étude transversale portant sur 113 patients âgés de plus de 15 ans, hospitalisés dans les services de médecine et de chirurgie du CHU – SylvanusOlympio du 1er août au 31 octobre 2009. Résultats : cent treize patients (53 hommes, 47 % et 60 femmes, 53 %) ont participé à l’enquête. Leur âge moyen était de 40 ans. Cinquante-sept (50,4%) étaient hospitalisés en médecine et 56 (49,6%) en chirurgie. La durée moyenne d’hospitalisation des patients était de 22 jours. Au sujet du diagnostic, 84% des patients avaient reçu une information et 54% estimaient avoir été bien informés. Soixante-treize pourcent des patients n’avaient posé aucune question. Concernant les examens paracliniques, 48% des patients avaient reçu des informations sur leur but et 46% sur leurs résultats. Quatre-vingt-dix-huit pourcent des patients n’étaient pas informés des risques potentiels des explorations et 80% n’avaient posé aucune question. Les ordonnances n’étaient pas expliquées dans 40% des cas. Quarante pourcent des patients en ignoraient le but, 90% ignoraient les risques potentiels et 76% n’avaient posé aucune question. Soixante-huit pourcent des patients connaissaient leur droit à l’information, et 78% désiraient tout savoir sur leur état de santé. Conclusion: les patients semblaient mieux informés en matière de diagnostic qu’en matière d’explorations paracliniques et de traitement. Il existait un contraste entre leur désir d’être informés et l’absence de questions sur leur état de santé.


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